Le Grand Prix de Formule 1 à Montréal a toujours eu une signification particulière pour moi. Lorsque j’étais petite, cela voulait dire que je pouvais ramasser toutes les bouteilles et les canettes abandonnées dans le terrain de camping que possédait mon grand-père. Pendant le week-end du Grand Prix, je faisais une véritable petite fortune. Plus tard, quand j’étais encore trop jeune pour travailler à la réception, j’avais installé une table pour vendre des souvenirs aux clients, dont un bandana à carreaux spécialement pour l’occasion. Ce week-end payait ma garde-robe estivale. À l’adolescence, cela voulait dire plus d’heures et plus de pourboires. Quand j’ai commencé à travailler chez Expedia Group à titre de gestionnaire de marché pour Montréal, ce week-end-là pouvait faire ou briser mes indicateurs de performance du trimestre. Le Grand Prix est important pour moi – mais surtout, il représente de l’argent. Et je sais que c’est pareil pour bien des Montréalais.
Nous sommes officiellement à moins de 12 mois d’une situation exceptionnelle : deux Grands Prix F1 en sol montréalais. Le changement de date de la course en 2026 entraînera le déplacement du plus gros week-end de l’année pour les hôteliers, d’un mois à l’autre. Dans cette nouvelle réalité, j’ai bien hâte de voir comment les traditionnels systèmes de gestion des revenus vont évaluer le deuxième week-end de juin — un week-end influencé par le Grand Prix dans 11 des 20 dernières années. Conçu pour s’adapter aux dynamiques actuelles du marché plutôt qu’aux tendances historiques, Rate Yield est prêt à faire face à cette nouvelle réalité. Et même si ce cas peut sembler local, nos fonctionnalités peuvent facilement être adaptées à n’importe quel événement à forte demande, partout dans le monde.
Mais revenons à mon point de départ : le Grand Prix représente de l’argent pour beaucoup de Montréalais. Et bien peu d’hôteliers n’ont pas d’opinions bien arrêtées sur leur stratégie tarifaire pour cet événement. Le Grand Prix, c’est aussi une source de stress. Voici donc cinq façons sans stress pour les hôteliers de garder le contrôle de leur stratégie de tarification pour les événements à haute demande avec Rate Yield :
1. Définir un prix minimal avec un ajustement manuel
Avant toute chose, vous pouvez fixer un tarif minimal pour l’ensemble de votre propriété, selon l’impact attendu de l’événement. Vous pouvez aussi imposer un tarif fixe, mais pourquoi vous limiter si le marché évolue à la hausse ?
2. Créer une saison pour votre ensemble concurrentiel
Certains événements attirent la demande dans des secteurs différents du centre-ville habituel. Dans le cas du Grand Prix, l’événement a lieu sur une île entre Montréal et la Rive-Sud. Ainsi, les hôtels situés près du métro sur la Rive-Sud peuvent connaître une demande plus forte qu’à l’habitude, et il serait pertinent d’inclure davantage d’hôtels du centre-ville dans leur ensemble concurrentiel, même si ce n’est pas le cas en temps normal.
3. Créer une saison pour vos types de chambres
Dans la section des types de chambres, vous pouvez définir un prix minimal et maximal pour chaque catégorie. Pour maximiser vos revenus lors de dates à fort impact, vous pouvez ajuster les minimums selon les clientèles ciblées et leur volonté de payer pour chaque type d’hébergement.
4. Créer une saison pour vos stratégies tarifaires
Vous souhaitez garder un contrôle total sur vos prix, sans influence de la concurrence ? En créant une saison spécifique pour l’événement, vous pouvez revenir à une tarification fixe, mais ajustée selon la fenêtre de réservation et le taux d’occupation. Cela vous permet d’adopter une approche pratique et flexible, tout en maintenant une stratégie dynamique, sans trop d'interventions.
5. Appliquer les restrictions intelligentes (Smart Restrictions)
Lorsque j’étais gestionnaire de marché, à l’approche du Grand Prix, mes collègues et moi analysions les grilles tarifaires des hôtels de notre portefeuille pour nous assurer que les types de chambres étaient équilibrés et que les restrictions ne freinaient pas les ventes. Rate Yield fait ce travail pour vous en vous alertant lorsque vos restrictions nuisent à votre capacité de remplir vos chambres. Je me souviens aussi des appels faits le jeudi aux hôteliers pour leur mentionner qu’un minimum de 4 nuits encore en place risquait de compromettre leur taux d’occupation. Les Smart Restrictions de Rate Yield relâchent automatiquement ces restrictions selon la fenêtre de réservation.
Chez Rate Yield, nous savons que VOUS connaissez votre marché mieux que quiconque. Notre objectif est de vous donner les moyens de prendre des décisions éclairées. Vous pouvez avoir confiance que notre système respectera vos stratégies, particulièrement lors de ces événements à fort impact qui font grimper vos revenus… et votre niveau de stress.
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